Robot Blog

Il avait déjà fait l’objet d’un article sur le site, ce robot Poisson, lorsqu’il était exposé à l’aquarium de Londres à County Hall, …

Et  bien il est de retour avec une nouvelle mission !

Des scientifiques britanniques travaillent sur un projet de poisson-robot. Il devrait être capable de détecter un début de pollution en milieu aquatique, et de se déplacer de façon jeudi 19 Mars 2009 la société qui pilote le projet.

Le poisson, long d’environ 1,5 mètre et qui ressemble à une carpe, sera équipé de détecteurs chimiques pouvant identifier des sources de pollutions, telles que des fuites de carburant provenant de navires ou des produits chimiques dilués dans l’eau, selon la société de conseil BMT Group Ltd.

Le poisson-robot, conçu par des chercheurs de l’Université d’Essex (à l’Est de l’Angleterre) n’est pas télécommande mais dispose de ses propres capacités de navigation. Il doit retourner à son port d’attache toutes les huit heures, quand il a épuisé ses batteries.

Cinq poissons-robots de ce modèle doivent être mis à l’eau dans le port de Gijon, dans le nord de l’Espagne, dans le cadre d’un projet de recherche fondé par la Commission européenne.

Conçu par l’équipe du professeur Huosheng Hu de l’université d’Essex, le poisson-robot, d’un coût de 20 000 livres (soit près de 23.000 euros), peut se déplacer à une vitesse maximum d’un mètre par seconde.

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Année 2018. Les familles d’un soldat et d’un sous-officier américains reçoivent 100 millions de dollars de dommages et intérêts de la firme Milibots Inc. Les deux militaires, pris comme boucliers humains par des insurgés afghans qui venaient de s’emparer de leur batterie mobile de missiles, ont été « sacrifiés » par le robot autonome JCN 3000 chargé de la protection du convoi. En détruisant la batterie et ses servants, le robot a voulu parer un risque imminent d’utilisation de ces armes, susceptible d’occasionner un plus grand nombre de morts dans le camp allié, a tenté de faire valoir Milibots Inc, lorsque l’affaire a été ébruitée – avant de sortir son chéquier.

2020. Le Tribunal pénal international fait comparaître un « robot casque bleu » Swissor B12, dans une affaire de crime de guerre en Géorgie. C’est le contenu de sa boîte noire qui intéresse le tribunal. La présence de ce témoin mécanique n’a semble-t-il pas empêché ses camarades de section humains de se venger sur des civils d’une embuscade ayant fait des morts dans leurs rangs près d’un village frontalier russe.

science-fiction ? Pas tout à fait. Ces deux exemples illustrent des scénarios susceptibles de se produire dans un proche avenir, à mesure que les robots autonomes se multiplieront dans les zones de conflit. Seront-ils dotés d’un sens moral pour prendre les bonnes décisions ? Rendront-ils les guerres moins meurtrières ? Le sens du sacrifice de ces « consommables » réduira-t-il les pertes humaines ? En cas de dérapage, qui sera responsable – leur constructeur, l’armée qui les a enrôlés, les robots eux-mêmes ? Mais alors, comment punir une machine ?

Les états-majors commencent à se soucier des enjeux éthiques qui se profilent. En témoigne la publication, fin décembre 2008, d’un rapport intitulé « Robots militaires autonomes : risques, éthique, design », commandé par l’US Navy.

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Le CES « Consumer Electronics Show » Edition 2009 de Las Vegas, a débuté, et c’est donc l’occasion pour la société WowWee de présenter ses nouveaux produits.

Voici donc les nouveaux robots de WowWee : Roborover et JoeBot.

ROBOROVER :

Le Roborover est un robot explorateur doté de bras, d’une tête et de roues chenillées. Grâce à celles-ci, il est capable de franchir quelques obstacles. Il est aussi doué de la parole. Bien que son vocabulaire soit limité, il réussit tout de même à parler dans un langage simple. On peut également le passer en mode « Follow Me. » Le Roborover va alors suivre son utilisateur, même dans une pièce obscure. Afin de se déplacer en toute tranquillité, il est pourvu de détecteurs infrarouges pour les obstacles et de détecteurs d’inclinaison. S’il tombe, il le sait.

JOEBOT :

Le robot Joebot fait partie de la famille des Robosapiens de la même marque, et y ressemble beaucoup. C’est normal puisque voici le successeur de ce best-seller de WowWee. humanoïde, Joebot est à la pointe de la robotique grand public. Il sait parler, répondre à des questions et suivre des ordres vocaux. Tout cela passe par ses capteurs audio qui lui permettent d’analyser les sons. À contrôler via sa télécommande ou par ses mains. Lorsqu’on le laisse seul, Joebot peut se mettre en mode surveillance ou tout simplement se balader. il possède d’autres modes tels que le mode discussion, ou le mode duel / bataille.
Il est également capable de reproduire des sons que vous lui ferez enregistrer, et danser et réagir au rythme de la musique.

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Un prototype de robot de service dédié aux personnes agées, a été récemment présenté à l’université de Tokyo (Information and Robot Technology Research Initiative).

Le robot Mamoru (qui signifie « protéger » ou « prendre soin », en japonais) a l’apparence d’une petite grand mère, et est capable de rappeler à ses utilisateurs -les personnes âgées- l’endroit où ils ont déposé leur lunettes, ou leur télécommande par exemple, où bien leur rappelle quand prendre leur médicaments.

Une caméra grand angle associée à un logiciel de reconnaissance de forme, sont utilisés pour localiser les objets de la maison qui ont été enregistrés le propriétaire afin de les retrouver dans la maison.
Le robot peut aussi signaler par un rappel des tâches urgentes à réaliser.

De grande sociétés comme Toyota Motor, Fujitsu et d’autres entreprise ont participé à l’élaboration de ce projet et espère sa commercialisation dans une dizaine d’années, vers 2018.

Le Robot Mamoru mesure 40 cm de haut, pour un poids de 3.8Kg, est équipé d’un micro et de haut-parleurs et peut être contrôlé par téléphone portable.

Serait-ce la prochaine technologie utilisée pour se faire soigner ?

Le laboratoire de nano robotique de l’université de Carnegie Mellon a mis au point un nouveau type de robot pouvant être avalé et contrôlé hors du corps. La capsule robotique possède des petits bras adhésifs qui peuvent se fixer sur des parois internes glissantes puis se détacher sans endommager les tissus.
A l’aide d’une télécommande, les médecins peuvent indiquer au robot quand sortir ou rétracter ses « pattes » afin de se fixer ou se détacher.

Une fois la capsule ingérée comme toute pilule classique, elle peut-être utilisée pour prendre des clichés des zones voulues, ou effectuer des mini-films grâce à une mini-caméra, mais elle pourrait également avoir d’autres fonctionnalités comme la diffusion d’un médicament, le prélèvement de tissus, ou la cotérisation de plaie avec un mini-laser, ou autres applications ..

Sachant que pour le laboratoire, la tache la plus difficile a été de mettre au point un adhésif capable se coller, recoller de manière répétitive et indéfinie sur des tissus comme les intestins, l’oesophage, ect …. et bien sûr, sans endommager ces tissus.

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