Une très Très TRES bonne nouvelle pour la France dans le domaine de la robotique ….
Le pôle de compétitivité des industries numériques Cap Digital a présenté mercredi 20 mai 2009 une section dédiée à la robotique de service, Cap Robotique, censée «élever la France au rang de leader mondial dans ce domaine», selon le président de cette nouvelle division, Bruno Maisonnier.
« La robotique est un domaine voué à prendre de l’ampleur. Ca fait 20 ans qu’on en parle mais c’est maintenant que ça se passe » estime Bruno Maisonnier, président fondateur de Aldebaran Robotics. « La France détient tous les atouts pour se positionner parmi les leaders de cette nouvelle industrie. Cap Robotique, par son aspect fédérateur, se propose d’en être le fer de lance » estime Cap Digital, dans un communiqué. Créé au sein du pôle de compétitivité Cap Digital en décembre 2008, Cap Robotique veut fédérer les acteurs français de la robotique.
Finis les complexes vis-à -vis des Japonais. La France est en pointe sur le secteur (3e rang mondial en termes de publications scientifiques) et inspire même des maîtres nippons du domaine. Objectif de Cap Robotique : fidéliser et structurer les entreprises françaises pour devenir les champions du secteur.
Structurer la communauté robotique française :
« L’objectif de Cap Robotique est de structurer la communauté française en créant les synergies qui nous aident à nous développer et en déterminant les PME qui disposent d’un savoir-faire mais qui n’ont pas identifié la robotique comme un secteur d’activité. L’idée de Cap Robotique est également de permettre à la France de se placer sur ce marché, notamment en devenant l’interlocuteur des pouvoirs publics » explique Bruno Maisonnier. En apportant une visibilité au secteur, la vocation de Cap Robotique est notamment de faire prendre conscience au gouvernement du potentiel des PME dans ce domaine.
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Lors d’une Conversation d’avenirs avec la journaliste Stéphanie Bonvicini, Jacques Attali livre ses réflexions sur l’avenir à travers le prisme d’un événement en apparence mineur mais annonciateur de profonds bouleversements.
Un robot de 1.6 mètre de long et aux yeux scintillants pourrait devenir le meilleur compagnon pour aller chercher des aliments et des médicaments, sonner l’alarme en cas de fuite d’eau ou de gaz, envoyer des images ou des textes avec des moyens de communication sans fil, et même chanter une chanson ou jouer aux échecs pour amuser leurs maîtres âgés.
Romeo est un projet labellisé par le pôle de compétitivité Cap Digital et financé par la Région Ile-de-France, la Direction Générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services (DGCIS) et la Ville de Paris. D’un budget de 10M€, il est subventionné à hauteur de 4,9M€.



