La Wiimote n’en fini pas d’avoir de multi-usages …
Après avoir été utilisée pour commander le déplacement d’un aspirateur Roomba, cette fois ci c’est l’armée qui l’utilise !
En effet, la manette de jeu « Wiimote » de la société Nintendo a été adaptée pour assurer le pilotage d’un robot démineur à usage militaire. Selon les concepteurs du système, cela présenterait une manière plus intuitive de manipuler l’appareil.
Le Robot militaire démineur Packbot :
La manette Wiimote – « télécommande » de contrôle de la console Wii de Nintendo – permet le pilotage d’un engin militaire. Deux sérieux ingénieurs en robotique issus d’un laboratoire fédéral américain, David Bruemmer et Douglas Few sont parvenus à modifier un robot militaire : le Packbot pour le rendre manipulable à partir d’une simple Wiimote.
L’intérêt du dispositif est d’autoriser un pilotage plus intuitif de la machine dans le but de maintenir l’attention de l’utilisateur sur les informations transmises par Packbot.
Un contrôle intuitif pour un gain de concentration :
Les deux chercheurs révèlent que la conduite de ce système, traditionnellement effectuée via un joystick, est très exigeante en termes de concentration.
Plus d’informations sur une Wiimote pour télécommander les robots de l’armée dans la suite …
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Les robots intelligents s’inspirent des schémas de fonctionnement du cerveau humain. Et quand les théories de la neuroscience – ici, le connexionisme est remis en cause – évoluent, la robotique aussi. Cette théorie repose sur l’idée que l’intelligence n’est pas un processus linéaire, mais consiste en un ensemble de petits processus simples reliés entre eux : pour simplifier c’est la connexion entre les neurones qui serait à la base de l’intelligence. Notre cerveau créerait cette architecture au fur et à mesure de l’apprentissage. C’est ici qu’intervient la théorie du contrôle, soutenue par Asim Roy : il y aurait d’autres parties du cerveau, des contrôleurs, qui régiraient ce réseau de neurones. C’est le concept défendu dans la publication de « Connectionism, Controllers and a Brain Theory » par ce professeur à la W. P. Carey School of Business. » Selon la théorie du contrôle, si j’apprends à jouer aux échecs, une partie de mon cerveau m’y aide« , Axel Buendia, docteur en Intelligence Artificielle et dirigeant de la société 



