Les dernières innovations et les grandes tendances du domaine de la robotique grand public ont été présentées le 15 Janvier 2009 dans le cadre d’une conférence organisée par la société Gostai, qui développe le système d’exploitation universel pour robots : le système Urbi.

GOSTAI a ainsi dévoilé un service permettant d’accéder à distance à n’importe quel robot intégrant l’architecture GostaiNet. Il s’agit de décentraliser l’intelligence artificielle pour mettre à portée de robots économiques des comportements complexes, indépendamment des capacités embarquées. La robotique est d’ores et déjà très évoluée, le défi consiste désormais à la rendre accessible.
La robotique personnelle attire de nombreux investisseurs et entrepreneurs français tels SFR Développement, Bruno Bonnell ou encore Meccano
Les fonctions de reconnaissance vocale, de détection de mouvements ou encore de synthèse vocale par exemple, jusqu’à présent réservées aux robots de pointe comme l’AIBO du japonais Sony vendu environ 2000 euros sont dorénavant accessibles sur des robots vendus entre 300 et 500 euros.
Plus d’informations et photos sur Gostai – objectif : rendre la robotique et la téléprésence abordables dans la suite …
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100 ! C’est le nombre de Nao livrés à ce jour. Nous ne sommes pas peu fiers du travail qui a été accompli : la production en série des Nao pour la 
Les robots intelligents s’inspirent des schémas de fonctionnement du cerveau humain. Et quand les théories de la neuroscience – ici, le connexionisme est remis en cause – évoluent, la robotique aussi. Cette théorie repose sur l’idée que l’intelligence n’est pas un processus linéaire, mais consiste en un ensemble de petits processus simples reliés entre eux : pour simplifier c’est la connexion entre les neurones qui serait à la base de l’intelligence. Notre cerveau créerait cette architecture au fur et à mesure de l’apprentissage. C’est ici qu’intervient la théorie du contrôle, soutenue par Asim Roy : il y aurait d’autres parties du cerveau, des contrôleurs, qui régiraient ce réseau de neurones. C’est le concept défendu dans la publication de « Connectionism, Controllers and a Brain Theory » par ce professeur à la W. P. Carey School of Business. » Selon la théorie du contrôle, si j’apprends à jouer aux échecs, une partie de mon cerveau m’y aide« , Axel Buendia, docteur en Intelligence Artificielle et dirigeant de la société 



