La société HPI robotique Japon vient de présenter G-Dog, le chien robot.
Livré en kit, il vous faudra assembler les différents éléments le composant :
armature en plastique, capteur d’accélération sur 3 axes, des servos-moteurs et enfin les batteries nickel-hydrogène de 7.2v.
Une fois le tout assemblé, les amateurs de robotique obtiendrons un chien robot mesurant 375 × 135 × 190mm et ils pourront le programmer grâce aux différents logiciels de gestion des mouvements et câbles fournis.
Vidéo du chien robot G-Dog d’HPi :
Plus de photos, vidéos et informations du chien robot G-Dog d’HPi dans la suite …
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Les robots intelligents s’inspirent des schémas de fonctionnement du cerveau humain. Et quand les théories de la neuroscience – ici, le connexionisme est remis en cause – évoluent, la robotique aussi. Cette théorie repose sur l’idée que l’intelligence n’est pas un processus linéaire, mais consiste en un ensemble de petits processus simples reliés entre eux : pour simplifier c’est la connexion entre les neurones qui serait à la base de l’intelligence. Notre cerveau créerait cette architecture au fur et à mesure de l’apprentissage. C’est ici qu’intervient la théorie du contrôle, soutenue par Asim Roy : il y aurait d’autres parties du cerveau, des contrôleurs, qui régiraient ce réseau de neurones. C’est le concept défendu dans la publication de « Connectionism, Controllers and a Brain Theory » par ce professeur à la W. P. Carey School of Business. » Selon la théorie du contrôle, si j’apprends à jouer aux échecs, une partie de mon cerveau m’y aide« , Axel Buendia, docteur en Intelligence Artificielle et dirigeant de la société 
